Qi ? Chi ? Kha ?
En Egypte ancienne, bien avant l'émergence des adorateurs du Monothéïsme sous le règne d'Akhénaton, le Kha était connu et utilisé par ceux qui savaient.
En Chine impériale, si l'Empereur tombait malade, on exécutait le médecin incapable qui l'avait laissé tombé malade sans le prévoir.
Chez les moines bouddhistes, les soins s'apportaient en analysant les astres et leurs positions le jour de la naissance ( d'où le fait que le premier prénom soit le jour de naissance. exemple : Tuesday Lapsang Rompa né un mardi) mais aussi le jour de l'arrivée de la maladie. Il était donc de coutume d'utiliser les plantes les plus en adéquation selon leur naissance propre afin de traiter au plus vite les symptômes.
Dans les cultures tribales, les Marabout et autres "sorciers" des villages allaient se fournir en remède au cœur des forets laissant leur inspiration les guider tout autant que leur expérience et leur science.
Chez les druides, les compétences les plus complètes sont à l'oeuvre pour apporter ce qui est nécessaire à éradiquer les souffrances.
Mais partout, à chaque période de l'histoire avec un grand H, dans chaque culture, chaque religion ou secte, dans chaque livre fondateur au travers du globe il est question de la même chose :
Le souffle divin. Matérialisé par de belles métaphores, de savantes images...
Pourtant comme l'a dit l'un des plus célèbres guérisseurs encore adulés aujourd'hui :
" ce que j'ai fait, d'autres peuvent le faire et mieux encore. "
Les représentations d'Anubis travaillant à la momification d'un roi font référence à une force universelle dirigée par le souffle du Dieu des Morts.
Les différents Arts Martiaux, pratiqués à un certain niveau, initient à certains secrets liés à ce souffle et à cette énergie divine.
Nikola Tesla, scientifique méditant et.... ( la liste est longue), avait semble-t-il compris ce dont il était question. Captant l'énergie tout autour de lui par le biais d'uns construction mécano-électrique pour offrir au monde une source inépuisable, propre, gratuite et capable de propulser ses constructions jusque dans l'espace sans réservoir ni carburant... mais " Monsieur Tesla... où allons-nous mettre les compteurs?" Et le monde a perdu cette opportunité d'être meilleur depuis plus de cent ans.
Aujourd'hui, le monde change, les gens partout sur la planète se libèrent des schémas anciens de servitude au système. Partout des groupuscules avancent, tirant dans leur sillage des âmes prêtes à progresser vers l'utilisation de cette énergie et de ce souffle.
Pour l'heure, je vous laisse vous interroger sur la question par vous-même. Car il n'est de meilleur apprentissage que celui que l'on fait par soi-même.
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